Mon nom est Tsotsi

Tsotsi, un adolescent, vit dans un bidonville non loin de Johannesburg. Le jeune homme a fait une croix sur son passé et ignore jusqu'à son nom. Tout le monde l'appelle Tsotsi, ce qui veut dire «gangster» dans le jargon du ghetto. Avec une bande de marginaux, il vole et agresse les gens. Au cours d'une soirée trop arrosée, il passe à tabac Boston, l'un de ses complices. Puis il prend la fuite et se retrouve dans un quartier riche. Pris de panique, il braque une femme devant chez elle avant de voler sa voiture. Il s'enfuit rapidement. Mais il découvre qu'un bébé dort sur le siège arrière. Après avoir hésité, Tsotsi décide finalement de s'occuper du bambin...

Critique : Un gamin qui a appris la violence pour survivre dans un bidonville d'Afrique du Sud découvre un bébé dans une voiture qu'il a volée, et décide de lui donner l'amour qu'il n'a, lui, jamais eu. Un sujet fort, traité par un cinéaste qui s'adresse au grand public, et le fait avec finesse, avec justesse.

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