Beauté fatale

Christophe Grant, un architecte de 45 ans, a tué le professeur Francis Bosc, spécialiste de chirurgie réparatrice crâno-faciale, et figure internationale de la chirurgie esthétique. Pourquoi ? Sur la scène de la salle de gala de l'Opéra de Paris, la femme de Christophe Grant exécute une interprétation rare et magique du Concerto n°2 de Chopin, devant le jury du Concours International Franz Liszt. Elle s'appelle Alice et a 32 ans. Vêtue de sa robe de soirée, elle est suprêmement belle. Pourtant, voilà un an à peine, Alice Grant était encore une illustre inconnue. Loin d'oser s'imaginer concertiste, elle travaillait au service clientèle d'une grande société de cosmétiques, le Groupe Orlange. Et jamais elle n'aurait osé se produire en public, parce qu'il y a un an, Alice était laide...

Critique : Alice a recourt à la chirurgie plastique pour réparer une malformation faciale au grand dam de son époux, qui devient jaloux comme un pou. Cette adaptation à la sauce thriller du Miroir à deux faces, d'André Cayatte, ne devrait pas effacer l'original.

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