L'espion qui m'aimait

Deux sous-marins nucléaires, l'un soviétique, l'autre occidental, ont disparu. Voilà les maîtres du monde bien embarrassés. Impossible, en effet, d'accuser le camp d'en face. Deux espions de haut rang, James Bond du côté britannique, et Anya Amasova du côté russe, sont chargés d'éclaircir ce mystère qui défie les lois de la guerre froide. Tous deux se retrouvent au Caire. Leurs relations ne sont pas particulièrement chaleureuses, mais un microfilm devrait pouvoir les réunir. En effet, le précieux élément indique que l'entreprise de navigation Stromberg serait à l'origine de ce coup fumeux. Bond et Anya poursuivent donc leur enquête et leur rivalité, de plus en plus amoureuse, en Sardaigne...

Critique : Bond, épisode 10. Sur le fond, rien de bien neuf : un mégalo veut détruire New York et Moscou pour bâtir un nouveau monde sous-marin. Mais la forme est plus originale. Notamment grâce à la photo de Claude Renoir, qui donne au film un air de conte de fées maléfique.

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